Elias passait le meilleur séjour de sa vie chez les Akhley. Déjà d’une parce qu’il était loin de chez lui, de deux parce qu’il était avec son meilleur pote et sans doute l’équivalent féminin en plus, de trois parce qu’il était bourré. Pas le genre bourré où il allait se mettre à vomir d’une seconde à l’autre non pas du tout, plutôt bourré dans le sens où il ne sentait plus une partie de son cerveau, souriait à tout bout de champ et riait un peu trop fort. Il avait aussi envie de danser mais il se retenait parce qu’en matière de danse, il était faible. Très faible. C’était à peine s’il savait danser un slow sans marcher sur les pieds de son ou sa partenaire. Par contre, danser en sautant sur place et en secouant la tête dans tous les sens, ça, il savait faire. Sauf que la maison des Akhley c’était pas comme chez les Kent ou chez les Norbo, ce n’était pas un domaine immense avec une maison démesurée pour une famille de taille normale, c’était un foyer normal de taille normale. Pour le coup, mieux valait éviter de trop bouger dans tous les sens. Encore que, le bruit n’était pas un problème puisqu’Elias, dans sa grande bonté, avait casté un sort de silence sur la chambre dans laquelle ils avaient organisé leur petite fête.
Ils avaient tout pour passer une bonne soirée : la compagnie idéale, plusieurs paquets de clopes qu’Elias avait achetés auprès de sa cousine qui était vraisemblablement embarquée dans un business pas net et des bouteilles d’alcool honteusement dérobées. Pour sa défense, ce n’était pas vraiment de la faute d’Elias. Enfin, pas entièrement. La perspective d’une soirée sans alcool l’avait anéanti - il fallait toujours savoir s’amuser, c’était peut-être aussi parce qu’il était habitué à se saouler au champagne lors des repas de famille, allez savoir - aussi avait-il proposé d’aller en acheter dans un magasin moldue. Le truc, c’est qu’aucun d’entre eux n’était majeur aux yeux de la loi des gens n’ayant pas la chance d’être dotés de magie, aussi avait-il fallu voler. Simon avait servi de distraction en parlant au vendeur parce que Chjarah était très nulle pour mentir. Du coup Elias avait chopé quelques bouteilles un peu au hasard alors qu’une certaine sorcière lui faisait la morale sur le vol, blablabla, la loi, blablabla, il avait bien sa place à Serpentard, gnagnagna. Au final ils ne s’étaient pas fait prendre et tout s’était passé - comment on disait déjà ? - comme sur des roulettes.
Elias avait une musique dans la tête, un truc moldu qu’il avait entendu à la radio mais dont les paroles ne lui revenait qu’à peine aussi bougeait-il doucement la tête en rythme en observant Chjarah et Simon devant lui. Il n’avait aucune idée de ce qu’ils faisaient, s’ils discutaient ou non et si oui, de quoi. Il n’écoutait pas, il restait assis par terre, la tête appuyée contre le matelas du lit derrière lui, exhalant la fumée de sa cigarette. Il l’avait enchantée de sorte que l’odeur ne gêne personne ni que la fumée ne risque de déclencher une quelconque alarme. Farewell tequila, so long margarita, and lady sativa, I hate to leave ya, don't want the pressure, I don't need a lecture. Soupirant, il se releva d’un coup et prit la parole sans prévenir. « Bon les gars, je vous annonce, il est hors de question que je me mette une mine sans qu’on s’amuse nom de Zeus ! » Il attendit que les deux autres se tournent vers lui pour leur adresser un grand sourire. Il se sentait si bien là, avec les deux personnes qui comptaient le plus pour lui, puisque la troisième n’avait pas été invitée. En même temps, si Alec avait été un tant soit peu poli avec Chjarah, peut-être qu’Elias aurait pu proposer sa présence, mais non, il savait pas faire ça, à se demander qui était l’ours de la bande. Heureusement qu’il lui avait fait le meilleur cadeau de Noël pour remédier à cette attitude. Pour Chjarah il n’avait pas eu beaucoup d’idées alors il avait prévu un petit truc un peu pourri mais il comptait se rattraper plus tard. Quant à Simon… Well. S’il avait pu, son cadeau aurait été fait de beaucoup d’amour, de plaisir et de baisers mais ce n’était pas vraiment possible ce qui était plus que regrettable. Alors il lui avait pris quelques trucs en rapport avec le Quidditch et des friandises à la citrouille, ça ne valait pas les tartes qu’il adorait mais bon, c’était déjà ça. Il espérait que cela allait lui plaire. « Je vous propose qu’on mette de la bonne musique et qu’on se tappe un petit action ou vérité pour pimenter cette soirée, » continua-t-il en se retenant de lancer un “Et sers-moi à boire femme !” à Chjarah parce que même si c’était pour rire, elle l’aurait sûrement frappé quand même. Au lieu de ça, il tendit lui-même le bras et, au prix d’un ultime effort, remplit son verre à nouveau. Il prit soin de garder la bouteille près de lui, bien conscient du fait qu’il en aurait sûrement besoin assez rapidement.
Chjarah C. Akhley
▾ Infos ▾
Avatar : Marilyn Lima Crédits : @moi pour le vava, @poesies cendrées. (ANESIDORA) sur Bazzart pour tous les codes Maison : Serdaigle Options : Arithmancie, Étude des Runes, Divination Clubs : Membre du Club d'échecs, tutrice du Club de Soutien.. Messages : 105 Points : 152 Feuille de personnage Résumé des relations: Disponibilité rp: Disponible
(23) décembre 2019 |ft. Elias (Bikie) & Simon (Husky)
Ce n'était pas la première fois que Chjarah buvait de l'alcool, même si elle l'avait rarement fait. Par contre, c'était la première fois qu'elle en buvait autant, depuis sa chambre moldue, avec ses parents dans la même maison, et provenant de bouteilles outrageusement volées. Autant l'annoncer directement, la Serdaigle n'avait pas été - et n'était toujours pas - d'accord avec ça. Elle leur avait expliqué qu'Elias avait beau être majeur dans le monde des sorciers, chez les moldus, c'était différent. On n'était pas majeur(e) avant ses dix-huit ans, et plus vieux encore dans d'autres pays. Les deux Serpentards avaient donc approché une épicerie avec un plan qu'ils s'étaient bien gardé de lui expliquer. Normal, puisqu'elle aurait refusé avec véhémence. Simon avait distrait le vendeur en lui tapant la discute, peut-être en lui achetant autre chose, elle ne savait pas. En attendant, Elias avait récupéré des bouteilles d'alcool à l'aide d'Accio. En voyant ça, elle avait essayé de lui rappeler que Elias, t'es sérieux ? Tu peux pas faire ça, c'est illégal ! Tu ne peux pas juste voler ce qui te manque. Au pire, on ne se bourre pas, je ne comprends même pas pourquoi tu- Elias, écoute-moi ! Va reposer ces bouteilles. Je-..., etc, etc. Il ne l'avait pas écoutée, étonnamment.
Ils étaient rentrés l'air de rien chez elle, les bouteilles cachées par-ci par-là. Ses parents les avaient accueillis avec le même enthousiasme que les deux jours précédents, mais ç'avait été plus tendu que d'ordinaire, puisqu'ils s'efforçaient de leur répondre d'un air naturel en gardant l'alcool derrière leur dos. Chjarah les avait prévenus qu'ils avaient acheté de quoi pique-niquer pour leur dernière soirée, donc qu'ils ne descendraient probablement pas manger avec eux. Puis ils étaient rentrés s'installer dans sa chambre, et Elias avait lancé un sort de silence au cas où ils soient trop bruyants. Ils s'étaient affalés sur le matelas simple que Chjarah utilisait et le fauteuil, délaissant le grand lit double qui servait aux deux Serpentards. Ces trois jours avaient été géniaux. Chjarah ne connaissait pas plus que ça Simon avant le séjour, tandis qu'elle côtoyait bien plus souvent Elias à coup de blagues et moqueries, depuis sa troisième année. Ils lui étaient devenus aussi familiers et proches que les filles qui partageaient son dortoir depuis qu'elle était à Poudlard. Elle voyait même Elias comme une Shaunee au masculin. Ce qu'elle ne lui dirait probablement pas en face, puisque ce crétin en serait un peu trop satisfait. Elle avait probablement passé une partie des meilleures vacances de sa vie - à égalité avec une sortie au ski mémorable accompagnée de Shaunee. Même ses parents adoraient les deux sixième année. En même temps, elle leur présentait comme amis deux grands mignons garçons, comme avait dit sa mère en les rencontrant, à sa grande honte - Oh, que vous êtes beaux ! Une grand mère, presque. Son père avait été aussi accueillant que d'habitude. Il avait engagé la conversation en demandant à Simon s'il faisait du sport, après avoir remarqué sa carrure. Et Flash avait foncé sur Elias sitôt qu'il l'avait aperçut, au grand dam de la Serdaigle. Bref, tout s'était bien passé.
Chjarah discutait avec Simon tout en buvant son deuxième verre de jus d'orange/rhum pendant qu'Elias fumait, appuyé contre le lit double. Elle aurait pu en être ennuyée, mais elle ne sentait aucune odeur de cigarette, alors elle laissait couler. Elle échangeait des anecdotes avec le Capitaine des serpents et elle était en train de lui raconter une connerie qu'elle et Shaunee avaient fait en cours de Sortilèges lors de leur deuxième année lorsque son ami pseudo-voyant se redressa brusquement avec un sourire immense. « Bon les gars, je vous annonce, il est hors de question que je me mette une mine sans qu’on s’amuse nom de Zeus ! » Chjarah haussa un sourcil. "Nom de Zeus ?" Il devait déjà être bien bourré, lui. Bon, ça commençait à tourner pour elle également, mais elle ne se tenait pas avec un sourire de dingue et l'air surexcitée. « Je vous propose qu’on mette de la bonne musique et qu’on se tape un petit action ou vérité pour pimenter cette soirée. » Sur ce, il tendit le bras vers la bouteille pour se servir encore une fois. Chjarah esquissa un sourire. « Je te préviens, si tu vomis, c'est toi qui nettoies. » Elle aurait bien aimé lui dire de ralentir, mais ce n'était pas quelque chose qui marchait sur Elias. Il n'écoutait pas grand monde, cet entêté. « J'en suis, en tout cas ! » Cela faisait longtemps qu'elle n'en avait pas fait. Parfois avec ses camarades de dortoir, mais jamais avec de l'alcool, ce qui promettait des actions - et vérités, d'ailleurs - bien plus ridicules. Elle se leva pour accéder à son lecteur CD. « Je commence ? », fit-elle, puis, sans attendre : « Alors, Simon, si tu préfères vérité, quel est le gage que tu ne voudrais absolument pas qu'on te demande de faire ? Et si tu préfères action, je t'invite à nous taper ta meilleure chorégraphie sur.. cette musique ! », et elle appuya sur Play. Les premières notes s'élevèrent. La Serdaigle alla rejoindre les deux Serpentards pendant que les premières notes de la Macarena se lançaient en fond. Elle avait un sourire machiavélique scotché au visage. Qui a dit que les serpents étaient les sadiques ?
☾ ANESIDORA
Aelan Valvira
▾ Infos ▾
Avatar : Ole Stirnberg Crédits : Jug Messages : 35 Points : 50 Feuille de personnage Résumé des relations: Disponibilité rp: Disponible
Ven 20 Mar 2020 - 17:57
Cigarettes and tiny
liquor bottles
Ft. Elias & Chjarah
Par Merlin, qu’est-ce que ça faisait du bien d’être enfin normal, de vivre une vie normale, entouré de gens normaux. Il n’avait jamais connu de vacances comme celles-ci et Simon savait qu’elles seraient gravées à tout jamais dans son cœur. Il devait se l’avouer, il était un peu réticent, au début, quand Elias lui avait proposé de venir. Non pas qu’il n’aimait pas la serdaigle, non, loin de là, mais c’était juste, que, eh bien… excepté leurs petits moments d’étude à la bibliothèque, ils ne se connaissaient pas si bien que cela. Juste les grands détails. Ils étaient amis, rien de plus. Mais il ne regrettait pas son choix. Il ne regrettait pas d’être venu, pas du tout même. Il savait que c’était peut-être l’une des meilleures décisions de sa vie.
Ils en avaient passé, de bons moments, perdus au milieu des moldus. On aurait dit une mission d’infiltration, un truc du style « les sorciers cachés au sein des moldus : que va-t-il se passer ? Arriveront-ils à survivre ? Vous allez bientôt le découvrir… » En soi, ça n’avait pas été si catastrophique que Simon le pensait. Certes, il y avait tous ces machins bizarres qu’il n’avait jamais vu avant – genre une télévision ?? – mais au final, il avait réussi à s’adapter très rapidement. Encore heureux, criait une petite voix dans son for intérieur. Oui, encore heureux, en effet. Il ne savait pas trop si les parents de Chjarah savaient que le jeune serpentard ne connaissait rien à ce monde qui lui paraissait si étrange mais à la foi si banal. En tout cas, il essayait de masquer son étonnement dès qu’il découvrait quelque chose de nouveau. Il n’avait jamais pris un seul cours d’étude des moldus, et même si Marit avait été une sang mêlée, il n’avait jamais vu quoi que ce soit d’étrange chez elle. À vrai dire, excepté la chambre de Marit et le jardin dans lequel ils avaient joué de temps à autres avec Eagle, il n’avait pas vraiment découvert la bâtisse. Et quand bien même ! Il ne se souvenait même plus si c’était son père ou sa mère qui était sorcier.e donc… Donc, oui, il avait tenté de dissimuler sa surprise à chaque nouvelle découverte. Enfin, pas tenté, il l’avait dissimulée. Parce que ce qui avait de bon, dans l’éducation d’un sang pur, c’était bien qu’on apprenait aux gosses à être impassibles, à ne pas trahir une seule émotion, même si elle était très forte.
Ils avaient volé de l’alcool, un peu plus tôt. C’était étrange. Simon avait ressenti ce rush d’adrénaline, ce genre de sentiment qui veut crier que non, c’était mal, il ne devrait pas faire ça, blah blah. Mais non. Le jeune homme l’avait juste fait taire et il avait passé quelques minutes à distraire le vendeur. Il savait que c’était mal, mais, concrètement, il en avait rien à foutre. Dans le pire des cas, Elias était majeur, il pourrait facilement l’oublietter ou quelque chose comme ça. Enfin, il en savait rien, il connaissait pas vraiment les règles sur les sortilèges dont l’utilisation dans le monde moldu était autorisée. Il se dit à ce moment-là qu’il ferait peut-être bien de les apprendre, parce que oui, bientôt, il serait majeur, lui aussi. Enfin soit. Une fois les bouteilles volées, il finit par s’excuser poliment auprès du vendeur, lui adresser un magnifique sourire de tombeur, et puis partit tranquillement rejoindre ses alcooliques acolytes.
Et maintenant… ils étaient de retour dans la chambre de leur pote. Elias fumait une clope qu’il avait au préalable enchantée, de sorte à ce qu’elle ne sente pas. Encore heureux, d’ailleurs, sinon Simon aurait pété un câble. Déjà qu’il détestait l’idée que son ami fume, il détestait encore plus sentir l’odeur d’une cigarette. Il ne savait pas pourquoi, ça l’insupportait, c’était tout, c’était comme ça. Et donc, il le laissait fumer dans son coin, pendant qu’il parlait avec Chjarah. Ils s’étaient beaucoup rapprochés durant ce petit séjour et ça lui faisait plaisir. Au moins, ils avaient eu l’occasion de faire plus ample connaissance dans un endroit où on pouvait parler à voix haute, ce qui n’était pas vraiment le cas de la bibliothèque.
« Bon les gars, je vous annonce, il est hors de question que je me mette une mine sans qu’on s’amuse nom de Zeus ! » Simon se retourna vers son ami et leva un sourcil, le sourire aux lèvres. Que voulait-il dire ? « Je vous propose qu’on mette de la bonne musique et qu’on se tape un petit action ou vérité pour pimenter cette soirée. » Le sourire de Simon s’élargit encore plus. Il savait pas combien de verres il avait bu, mais il savait déjà qu’aucune de ses décisions allaient être rationnelles. Pourtant, il tenait bien l’alcool, d’habitude… ou peut-être avait-il tout simplement déjà un peu trop forcé sur la boisson… arf, on s’en fichait, au pire ! Place à la guindaille ! La serdaigle resservit son ami et lui fit une remarque en disant que s’il vomissait, elle ne comptait pas ramasser… mais Elias pourrait simplement lancer un petit sortilège vite-fait. C’était le seul qui pouvait légalement faire ça… chanceux.
Elle demanda si elle pouvait commencer et, bien évidemment, elle n’attendit pas la réponse des deux amis pour lancer le premier gage. « Alors, Simon, si tu préfères vérité, quel est le gage que tu ne voudrais absolument pas qu'on te demande de faire ? Et si tu préfères action, je t'invite à nous taper ta meilleure chorégraphie sur.. cette musique ! » Elle appuya sur le bouton play de la chose qu’il avait découverte en arrivant ici : c’était un lecteur cd. On mettait un petit disque dans le machin et puis on appuyait sur un bouton et ça jouait de la musique. C’était dans ces moments-là qu’il regrettait de ne pas avoir pu prendre EDM, ç’aurait pu être tellement classe. Les premières notes se lançaient pendant qu’il réfléchissait. S’il prenait vérité, il pourrait faire le rabat-joie en disant que le gage qu’il ne voulait pas faire était justement de danser, mais ce serait trop nul, genre, ils s’amuseraient pas du tout. Et Simon était de bonne humeur – on pouvait remercier l’alcool pour ça – alors il se leva et se planta au milieu de la pièce. Les seules choses sur lesquelles il savait danser étaient des valses, ou simplement des danses dites « classiques ». Celles que ses parents, enfn, non, sa préceptrice, lui avait inculquées. Mais tant pis. Les paroles commençaient, elles étaient un peu débiles. When I dance they call me Macarena, and the boys they say que soy Buena, they all want me, they can’t have me, so they all come and dance beside me… Alors Simon fit ce qu’il pensait ne jamais faire dans sa vie, parce que déjà être ici était exceptionnel : il commença à danser. Des pas non reconnus, des pas ridicules, certes, mais il s’en fichait. Il était loin d’être gêné, surtout pas avec ces deux personnes en face de lui, ses amis, et surtout pas avec autant d’alcool dans le sang. Et il s’amusait tellement à faire ces pas sortis tout droit de son cerveau qu’il fut presque déçu d’entendre le morceau s’achever. Alors il retourna s’asseoir avec les deux cocos et il se resservit un verre. « Booooon. J’espère que vous avez apprécié le show, » dit-il avec malice. « Elias ? Action ou Vérité ? Si vérité, tu dois nous révéler quelque chose que tu n’aurais jamais voulu dire avant. Si action, tu dois créer mh.. disons, tu dois créer une chanson – et la chanter, bien évidemment – là, maintenant, tout de suite, en mon honneur et disant à quel point je suis incroyable ! » Il était nul pour créer des gages, mais il devait avouer qu’il était curieux de voir ce qu’il pourrait bien faire.
Accueil 
